Résumé :
Ce livre décrit de façon humoristique les aventures parentales, professionnelles et 'modesques' de Margaux Motin : cette trentenaire doit menée de front sa vie de femme mariée à un fan de jeux vidéo qui ne comprend décidément rien à la mode, son rôle de jeune maman d'une petite fille adorable mais envahissante, et sa carrière d'illustratrice freelance décontractée mais désespérément solitaire. La chronique tendre et drôle d'une femme moderne.
Marabout (col. Marabulles)
135 pages ; 13.50€
Publié le 13 mai 2009
J’aurais adoré être ethnologue est la
première BD que je lis depuis très, très, très longtemps. A la base, je ne suis
pas vraiment BD. C’est un genre avec lequel je n’accroche pas beaucoup. En
général, je sais apprécier la beauté des dessins, mais j’ai beaucoup de mal à
suivre une histoire de A à Z sous ce format-là. Mais allez savoir pourquoi, j’ai
soudainement eu envie de m’y essayer, et mon choix s’est porté sur un genre de
dessins que j’appréciais beaucoup sur le net, ainsi que sur une illustratrice
en particulier : Margaux Motin.
Moi qui n’était donc pas friande de BD, je me suis surprise à dévorer J’aurais adoré être ethnologue le soir même où je l’ai acheté. Margaux Motin nous offre des représentations justes et drôles de la vie courante par le biais de petites scénettes du quotidien et d’un bon coup de crayon ; et c’est frais, c’est léger, ça fait du bien. Il n’y a pas vraiment d’intrigue ni de fil conducteur, mais des personnages récurrents et des petits bouts de vie qui se suivent, et que l’on découvre sans voir passer le temps. C’est donc un format efficace qui m’a beaucoup plu – davantage peut-être que des BD conçues sur la même base qu’un roman, avec une histoire et une intrigue de fond. Comme quoi, il suffisait simplement que je trouve ce qui me correspondait le plus dans le format BD pour accrocher !
Moi qui n’était donc pas friande de BD, je me suis surprise à dévorer J’aurais adoré être ethnologue le soir même où je l’ai acheté. Margaux Motin nous offre des représentations justes et drôles de la vie courante par le biais de petites scénettes du quotidien et d’un bon coup de crayon ; et c’est frais, c’est léger, ça fait du bien. Il n’y a pas vraiment d’intrigue ni de fil conducteur, mais des personnages récurrents et des petits bouts de vie qui se suivent, et que l’on découvre sans voir passer le temps. C’est donc un format efficace qui m’a beaucoup plu – davantage peut-être que des BD conçues sur la même base qu’un roman, avec une histoire et une intrigue de fond. Comme quoi, il suffisait simplement que je trouve ce qui me correspondait le plus dans le format BD pour accrocher !
Pendant ma lecture, j’avais parfois l’impression de me voir ou de voir certaines personnes de mon entourage, et c’est à mon avis ce mariage entre humour et réalité qui fait la force de cette BD. C’est en tout cas ce que moi j’ai apprécié. Par contre, j’avoue avoir regretté le côté un poil trop vulgaire de certaines scènes. C’est quelque chose qui ne m’est pas vraiment familier, et je m’en serais très volontiers passée. Rien de grave, toutefois, puisque je ne regrette absolument pas ma lecture.
En résumé, on peut dire que le bilan de cette lecture est plus que positif car en plus de m’être régalée avec cette BD, j’en suis ressortie avec l’envie d’en découvrir d’autres. Et c’est ce que je vais faire avec mes nouvelles acquisitions de la semaine (voir mon IMM), qui vont d’ailleurs me permettre de retrouver l’univers de Margaux Motin, puisque 2 des 3 BD achetés sont d’elle. Si ça, ce n’est pas la preuve que j’ai apprécié ses dessins… ! ;)
Je pense que je vais lire cette BD, elle me tente depuis tellement longtemps :)
RépondreSupprimerCa se lit tout seul et ça fait sourire, que demander de plus ? ^^
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